THE HOUSE OF BLUE LIGHT

Album tant décrié avec un Jon Lord aux abonnés absent, et pourri déjà par les tensions GILLAN/BLACKMORE...

affiche retrouvée dans ma cave...

j'ai bien aimer cet album a sa sortie, mieux que PERFECT STRANGERS...cependant il contiens de très bonne chansons dont MITZI DUPREE



ainsi que THE SPANISH ARCHER très épique, le pétillant STRANGEWAYS..

Par contre BAD ATTITUDE je n'ai jamais au grand jamais aimer ce titre qui pourtant debute par une intro de Jon..

je suis en train de relire les commentaires sur cet album sur le FCH...cet album me fait un peu pensé a la descente de COME TASTE THE BAND....et maintenant c'est un peu la même chose on lui (re)trouve des qualités...

voici la chronique
Endogarde Pourpre


Deep Purple

The House of Blue Light (Polygram 1987)


L’un des mérites que l’on doit reconnaître à Deep Purple, c’est d’avoir su s’inscrire dans l’air du temps, plus encore : dans le son de l’époque.

En mai 1986, le feu de la réunion s’est considérablement assagi. MkII retourne dans le Vermont pour y pondre le successeur de l’album de la résurrection, Perfect Strangers. Les dissensions se font une nouvelle fois jour et les tensions entre Gillan et Blackmore ont vite repris le dessus après une tournée mondiale de quelque 9 mois (novembre 1984 à août 1985).

Si Perfect Strangers et The House of Blue Light ont clairement des intonations communes, il est un fait que le premier est plus hard rock tandis que le second offre une orientation plus commerciale (« AOR » comme on dit). L’hammond de Jon se fait plus que discret et laisse la place aux synthétiseurs, partagés avec Roger (!). En ouvrant sur Bad Attitude, Deep Purple abat ses cartes d’emblée.

La guitare de Ritchie est sans doute le lien le plus évident avec le son de 1984 et, par là-même, avec celui des années ‘70. Mad Dog démontre, si besoin était, que la source de riffs tranchants n’est pas tarie. Avec le recul pourtant, on pourra constater que les années ’80 n’ont pas connu Ritchie à son sommet. Que ce soit avec Rainbow ou Deep Purple, Ritchie semble avoir besoin d’exorciser son penchant pour la pop rock (Call of the Wild) avant de revenir à des constructions plus subtiles et plus sombres.

The Unwritten Law, Black & White ou Strangeways permettent à Gillan d’exprimer une vision critique du monde dont on a déjà pu jauger sur les premiers albums mais qui réapparaît ici, l’humour en moins. Les paroles dénotent une certaine amertume et la crise existentielle du quadragénaire. Le travail de Blackmore sur les deux premiers morceaux est impressionnant.

Hard Lovin’ Woman apparaît injustement décriée car c’est assurément ce morceau qui renoue le plus avec les standards tels que Strange Kind of Woman, Woman from Tokyo, etc. The Spanish Archer est par contre souvent cité comme le morceau favori de l’album, tant par ses fans que par ses détracteurs : une construction fort curieuse, comme si le morceau n’était qu’un long jam (ce qu’il est en réalité). En l’écoutant, on ne peut s’empêcher de songer au sublime Son of Alerik issu des sessions d’improvision de 1984. Gillan attaque avec rage et énergie et s’impose vis-à-vis d’une guitare omnipotente.

Strangeways a certainement dû en surprendre plus d’un. Synthétiseur et piano ont ici la part belle, la guitare sous-mixée faisant de la figuration. Mitzi Dupree récoltera diverses appréciations selon que l’on prenne ce blues rock au 1er ou au 66ème degré. Certes les paroles de Gillan relèvent de la « private joke », mais le piano et la guitare offrent une mélodie intéressante.

Dead or Alive aurait quant à lui très bien pu se trouver sur Perfect Strangers. A noter l’excellente version live (idem pour Hard Lovin’ Woman) sur les éditions récentes de Nobody’s Perfect et en face B du single Hush de 1988. Ritchie nous y gratifie en intro d’un « sustain » impressionnant !

Même si certains morceaux de The House of Blue Light sont à prendre comme une forme d’auto-parodie, l’album me procure globalement plus de plaisir que Perfect Strangers. Etonnant alors qu’il ne contient aucun single percutant comme Perfect Strangers (la chanson) ou Knocking at your back door. Tout dans tout, ces deux albums pourraient très bien n’en former qu’un seul, double. Les deux ont leurs moments de faiblesse (Nobody’s Home, Mean Streak, Hungry Daze contre Call of the Wild, Strangeways et Mitzi Dupree), même si Gillan sonne plus agressif sur The House of Blue Light. Blackmore y est par contre moins présent. Lord s’adonne aux synthés tandis que Paice et Glover achèvent de leur donner un son à la mode ‘80.

Quant au successeur, il n’est sans doute pas juste de jeter Slaves & Masters à la poubelle en le comparant à Machine Head ou à Fireball. Slaves & Masters (1990) doit être comparé à ce qu’aurait été le troisième album de MkII(b), dans la suite de The House of Blue Light, c’est-à-dire à peu près The Battle Rages On. Et là, on se rend compte que ce n’est pas un si mauvais album que cela.

MAD DOG

Un album très décrié. Tellement décrié qu’il finit par être entaché d’une fin de non recevoir irréversible. D’aucuns le décrient sans le connaître, d’autres le condamnent à charge, d’aucuns encore suivent l’avis général, sans essayer de se démarquer pour, de manière neutre (une vraie neutralité est impossible, certes, disons alors une presque neutralité), se faire un avis personnel à l’abri des ricanements environnants…
Je ne mets pas en cause l’avis réel et bien arrêté de bien des auditeurs, fans ou pas du pourpre, leur déception de trouver là un album qui se démarque (qui se dé-Mark…). On peut ne pas aimer cet album, on peut le détester.
Moi, personnellement, je l’apprécie. En toute subjectivité, j’affirme qu’il s’agit là de l’album studio que j’écoute le plus. Je détaillerai pourquoi plus loin…. Et dans le lot des titres de cet album, Mad Dog et Dead or alive sont ceux que j’ai le plus entendus (avec bonheur !!!).
Il serait plus dur (impossible, en fait) de déclarer aimer les titres de cet album en live. Pas ou peu joués sur scène, les 10 titres de cet album n’auront pas eu la même chance que, par exemple, Lazy d’être décliné de diverses manières, avec intros surprenantes, inclusions, originales, solos décoiffants. En fait à part Dead or alive que l’on trouve sur certains boots, Hard lovin’woman qui figure sur "Nobody’s perfect", force est de reconnaître une absence crasse des autres titres (il y a bien un Mad dog qui a été saisi sur un boot, mais l’interprétation et la qualité du son en font un moment à oublier, hélas).

A sa sortie, "The house of blue light" n’a pas connu un succès phénoménal. Classé 10ème lors de sa sortie, au Royaume Uni et 34ème aux States, l’album ne recevra là qu’un accueil d’estime…

Avant d’aller plus loin dans ma critique qui se veut d’autant plus partiale qu’elle fera écho à tous les propos acerbes servant habituellement ce produit, je vais faire une légère digression vers les critiques habituelles. Les sites "officiels", colportant des avis "éclairés", sont habituellement destructeurs ou, au mieux, consensuels. Les avis de ces décortiqueurs avisés ne laissent aucune chance à cet album. A jeter aux oubliettes, à vouer aux gémonies…. Soit.
Mais dès lors que l’on se penche vers l’avis de consommateurs, les propos sont étrangement plus partagés. Depuis ce panel plus étendu, les avis se déclinent sur un panel plus étendu d’avis. Comme là, par exemple :
http://www.amazon.com/review/product/B00000JBFX/ref=cm_cr_dp_all_helpful?%5Fencoding=UTF8&coliid=&showViewpoints=1&colid=&sortBy=bySubmissionDateDescending

Les membres de Deep Purple eux-même ont critiqué cet album. "Album sans lien, sans idée directrice" dira Roger qui ajoute "habituellement, on part avec un titre d’album, qui donne une inclination à celui-ci. Avec le titre, on a une direction, une piste. C’était le cas avec Purpendicular. Mais là, aucun titre n’a été trouvé. Au final, un accord a été trouvé sur un titre que j’ai suggéré : The house of blue light ( titre tiré des paroles de Speed King)".
Le même, et Ian (Gillan) diront : "On s’est beaucoup investi dans l’écriture des morceaux de cet album, mais Ritchie s’en moquait, il ne voulait pas les écouter".

Qu’une ambiance mortelle ait "plombé" les enregistrements, que les rapports très tendus entre Gillan et Blackmore aient envenimé le climat, rien sans doute n’est plus vrai. Il n’est qu’à regarder les portraits des membres de de Purple qui figurent sur l’album. De vraies têtes d’enterrement……

Mais au-delà de ces appréciations, il y a aussi le fait que oui, sans doute, Ian (Paice) et Jon sont en retrait sur l’écriture des morceaux… Voyons un peu : à cette époque, Ian ne fait rien de très particulier. Il enregistre quelques morceaux avec (pour) son ami Pete York (visibles dans la série des "Superdrummings"). Jon n’en fait guère plus. Une courte apparition (deux morceaux) dans un disque d’Alvin Lee (Detroit Diesel)… Ce ne sont donc pas des préoccupations extérieures qui justifieraient la (prétendue) platitude de leur jeu…. Je mets platitude, entre guillemets, certes, mais je mets ce mot parcequ’en fait il n’y a pas platitude. Certains reprocheraient à Paicey d’avoir un jeu peu varié…. J’ai tout récemment offert un CD de "The House" à un ami batteur. Je m’attendais en retour à une critique très pointée sur cette facette du disque. Or non seulement il n’en a rien été, mais de plus, il se trouve que Fred (c’est mon ami batteur) me déclare adorer le morceau "Hard lovin’woman", en mettant en lumière des traits particuliers du morceau qui moi, ne m’avaient jamais interpellé…
Mais même en admettant que Ian Paice ait produit le minimum, il n’en va tout de même pas de même avec Jon. Certes, dans la plupart des morceaux, il est en retrait (comme il le fut dans la plupart des morceaux de sa période Whitesnake), mais il est quelques titres sur lesquels il se défonse. Au synthé surtout (ça, ça en défrise beaucoup) mais aussi à la Hammond, il marque de son empreinte quelques titres (Bad attitude, Mad dog, The spanish archer et Dead or alive).
Donc retrait mais pas absence.

Autre critique négative habituelle, le son, la prod. Inhabituelle, dérangeante oui. Inacceptable, dégradante ? Non….

Avant de faire la critique de cet album morceau par morceau, je concluerai là en disant comme bien des fans que de cet album, imparfait certes, se dégage une impression de joie, de pêche… Ceci n’est en rien incompatible avec ce qui précède (ambiance plombée, foi perdue, doutes, égos, etc…). Après tout, Ludwig Van Beethoven (le plus grand compositeur de tous les temps) a produit les œuvres les plus belles alors qu’il était personnellement au plus bas, malade, aigri, devenant sourd !!!!
Je dois avouer qu’à sa sortie cet album ne m’a pas vraiment interpellé. C’est en le ressortant, quelques années plus tard, que je l’ai écouté avec une autre oreille. Je l’ai trouvé plaisant, ludique même, et cette impression ne m’a plus quitté depuis. C’est depuis cette "résurrection" que je déclare avec toute la légitimité que mon confère mon solipsisme : c’est un excellent album de de Purple. C’est même mon préféré….

Verdict sans appel.

Stormy.
chose promise chose due ; j'avais réécouté pour la première fois depuis bien longtemps The house of blue light tout en prenant des notes sur mes impressions.. j'avais pas encore eu le temps depuis samedi de les poster mais comme ce matin a l'air calme j'en profite..  
avant toute chose je tiens quand même à signaler que certains titres de cet album oont quand même été joué régulièrement au moins sur la tournée promo de l'album.. il s'agit de Bad attitude, The unwritten law, Hard lovin' woman et Dead or alive ce qui reste dans la normalité pour une tournée promotionnelle et le fait que ces titres aient disparu ensuite est aussi assez monnaie courante (voir les titres d'Abandon et de Bananas) et ici sans doute du à leur faible impact sur le public et aussi du fait du changement de line up avec le départ de Ian Gillan

THE HOUSE OF BLUE LIGHT - DEEP PURPLE - 1987 - PART 1

Cet album si controversé (et dont on aura jamais autant parlé grâce à l'énorme campagne de soutien de Mad dog..   ) ouvre donc sur Bad attitude.. d'entrée on constate que le mix Strato/Hammond est excellent et donne immédiatement la touche pourpre si reconnaissable.. d'ailleurs Jon est ici beaucoup plus présent que dans mon souvenir et soutient parfaitement l'ensemble en rythmique comme au meilleur d'un Come an' get it du Snake.. par contre le mix de la voix de Ian est moyen moyen et l'arrivée des pseudo choeurs est pitoyable et nuit fortement à l'ensemble Ritchie est là et bien là avec le son et un solo sympa et très efficace.. Paice lui aussi bien mieux et varié sur ce titre que dans mon souvenir à l'inverse de Glover qui est pour le coup totalement transparent.. enfin on ne peut eviter l'impression de plagiat de ce titre (en tout cas sur le riff) du Owner of a lonely heart de YES..  
NOTE : 6,5/10

ça se gâte tout de suite sur The unwritten law.. le mix de la voix de Gillan est toujours moyen même si la voix est bien là et puissante.. musicalement ce morceau est bien pauvre et cette batterie mittrailleuse devient rapidement saoulante.. seul le refrain sauve les meubles avec une ligne mélodique plutôt réussie.. le solo de Ritchie est bien palichon excepté les dernières mesures ou il décolle un peu.. Roger est toujours aux abonnés absents
NOTE : 3,5/10

la dégringolade continue avec Call of the wild.. la célèbre alchemie Strato/Hammond devient ici caricaturale tellement elle est mise en avant (des fois qu'on oublierait qu'on écoute du Deep Purple tellement le morceau est affligeant).; cerise sur le gâteau : les synthés sont pénibles.. mais pénibles.. (et je ne dis pas ça parce que c'est le son synthé - à titre de comparaison dans un groupe comme Europe je les apprécie plutôt - mais parce que c'est Deep Purple !!).. les solos sont indigestes et la composition d'une incoommensurable indigence répétitive.. bon j'arrête là le massacre !!
NOTE : 1/10

Eh ben mad dog a raison pour Mad dog.. ce titre est la aussi bien meilleur que dans mon souvenir.. (faut dire qu'après la purge précédente..   ).. ce titre bénéficie d'un suprebe riff de Ritchie et Ian Gillan est assez énorme là dessus.. ça tourne plutôt pas mal excepté cet horrible solo synthé (encore) de Jon et une rythmique un peu monolithique.. Ritchie conclut le titre de magnifique façon et j'avais là aussi un peu oublié son excellent solo final suintant de feeling qui se termine hélas trop vite.. oui ! ce titre aurait vraiment mérité la scène !!
NOTE : 7,5/10

Ca coince à nouveau avec Black or white avec cet harmonica mal venu et sans feeling et de bien pauvres arrangements sans originalité et rien pour venir rattraper le morceau sauf peut être encore une fois la voix de Ian Gillan (puissante et énergique à souhait) mais certainement pas le duo basse/batterie passe partout et un solo remplissage de Ritchie.. et pour couronner le tout les synthés sont encore là (3 titres consécutifs !! m*** ça gave !!   )
THE HOUSE OF BLUE LIGHT - DEEP PURPLE - 1987 - PART 2

je continue et termine donc ce travail de décorticage que j'essaye de faire le plus objectivement possible de cet album toujours aussi controversé si j'en juge par les réaction à la première partie de cette critique !!

Pour entamer cette deuxième partie arrive le titre Hard lovin' woman.. clin d'oeil evident au Hard lovin man de In rock (qui n'etait pas pour me rassurer car chacun sait combien j'apprecie globalement les titres de In Rock.. ) Paradoxalement ce titre ne me dérange pas trop.. pas génial mais pas indigeste non plus.. en fait un assez bon petit titre comme Rainbow en pondait régulièrement.. (Can't happen here par exemple) qui tient la route et qui prenait de la valeur sur scène avec le couplage du bon solo final de Under the gun du Perfect strangers
NOTE : 4,5/10

l'album se poursuit donc avec le fameux titre The spanish archer.. Qunad Ian Gillan et Ritchie Blackmore veulent encore bien faire l'effort de mettre leur génie en commun cela donne ça : un superbe bijou !! un duo (et non un duel) guyitare/voix magnifique avec pas moins de 5 solos énormes de Ritchie.; ce n'est pas un hasard si les détracteurs et les adorateurs de House of blue light se retrouvent en général sur ce titre..
D'aucuns rétorquent que ce morceau ne ressemble qu'à une longue jam.. et alors ? n'est ce pas l'essence même de la musique du Pourpre ? moi j'adore !!
NOTE : 9/10

Lasuite se gâte à nouveau un peu avec Strangeways.. franchement le potentiel de ce titre etait à mon avis énorme mais totalement sous exploité avec certes des bonnes idées mais également des lourdeurs (encore cette rythmique) et un Big Ian mixé catastrophiquement sur ce titre.. si on ajoute à ça un final trop répétitif d'où la guitare de Ritchie a bien du mal a s'extirper (c'est long.. dieu que c'est interminable) et un Jon Lord toujours aussi synthétique cela laisse vraiment un artrière gout decevant alors que il y avait de quoi sortir un superbe morceau..
NOTE : 4,5/10

ah... Mitzee dupree.. bon ben oui... un p'tit blues.. bien construit.. classique.. très classique.; trop ? Ian Gillan aurait du la chanter un voir deux tons en dessous (et il peut le bougre..) et cela aurait donné sans aucun doute du chien à ce morceau.. le solo de Ritchie est correct mais sans plus et ça fait du bien d'entendre Jon Lord au piano bien qu'il aurait vraiment pu faire beaucoup plus la dessus !! quand à Roger ? Roger ? ah bon y'a un bassiste ?? Paicey lui est un peu mieux ici !!
NOTE : 6/10

Enfin le dernier titre Dead or alive.. bonne question en fait qui vient conclure cet album ? est-elle posée à nous ou bien se la pose t-il à eux mêmes.. le titre est pas très original par sa construction et son riff mais il y a les deux solos !! Ritchie et Jon enfin là et enfin Pourpresque (tentative de réponse à la question du début ?) rien que cela vaut son pesant d'or( aaahh.. la reprise de Jon sur la deuxième partie du solo : une tuerie) l'album finit donc malgré tout sur une bonne note et surtout sur une note estampillée pourpre mais il a fallu attendre sacrement longtemps..
NOTE : 8/10

au final, si je fais la moyenne des notes j'obtiens un pénible 5,35/10 donc tout juste passable mais finalement beaucoup plus que si j'avais du le noter à l'arrache et sur mes souvenirs.. merci donc à Mad dog pour avoir insisté sur cet album qui s'il est loin d'être un must n'est quand même pas la grosse daube que certains prétendent..

je remercie Patrick(Stormy) et le FCH pour son aimable autorisation ,ainsi que ENDEGARDEPOURPRE et MAD DOG

cette vidéo m'avait bien amusé a l'époque..

je réécoute ce disque...je trouve qu'il est vraiment a part, il vieillit mieux que Perfect Stranger et du lourdau The battle rages on...

Ted a écrit:

je remercie Patrick(Stormy)  et le FCH pour son aimable autorisation ,ainsi que ENDEGARDEPOURPRE et MAD DOG

Tu lui as demandé son autorisation ? Vu que le FCH est bel et bien mort, je pense qu'aujourd'hui il y a prescription, non ? C'est juste mon avis.

c'est la moindre des choses, Phil...

un album que j'écoute régulièrement: spanish archer est énorme par contre je trouve ritchie trop absent et les claviers /synthé trop présent
les bons : spanish archer-bad attitude-mad dog-dead or alive-the unwritten law
le - call of the wild
un bon album avec un son trop 1980
mitzi dupre c'est la version démo : à l’écoute des paroles de gillan blackmore a refusé de refaire sa prise.
faut dire un titre sur une fille qui lance des balles de ping pong avec son vagin

attention la version remasterisé est plus courte que l'original cd de 1987

Tangmo a écrit:

attention la version remasterisé est plus courte que l'original cd de 1987

Ah? je ne savais..par contre le cd est plus long que le lp

Ted a écrit:

Tangmo a écrit:

attention la version remasterisé est plus courte que l'original cd de 1987

Ah? je ne savais..par contre le cd est plus long que le lp

oui c'est cela surtout ne pas se séparer de la version cd 1987  qui est plus longue   les versions remasterisés qui sont comme le vinyl pour la durée

c'est comme pour le mk1 la compil us PASSAGE certains titres sont plus longs, mais là c'est en vinyl

1987 CD edition
No. Title Length
1. "Bad Attitude" (Blackmore, Gillan, Glover, Lord) 5:04
2. "The Unwritten Law" (Blackmore, Gillan, Glover, Paice) 4:54
3. "Call of the Wild" (Gillan, Blackmore, Glover, Lord) 4:48
4. "Mad Dog" 4:36
5. "Black & White" (Blackmore, Gillan, Glover, Lord) 4:39
6. "Hard Lovin' Woman" 3:25
7. "The Spanish Archer" 5:31
8. "Strangeways" 7:36
9. "Mitzi Dupree" 5:05
10. "Dead or Alive" 5:00

Vinyl, cassette and 1999 CD edition
No. Title Length
1. "Bad Attitude" (Blackmore, Gillan, Glover, Lord) 4:32
2. "The Unwritten Law" (Blackmore, Gillan, Glover, Paice) 4:34
3. "Call of the Wild" (Gillan, Blackmore, Glover, Lord) 4:48
4. "Mad Dog" 4:29
5. "Black & White" (Blackmore, Gillan, Glover, Lord) 3:39
6. "Hard Lovin' Woman" 3:25
7. "The Spanish Archer" 4:56
8. "Strangeways" 5:56
9. "Mitzi Dupree" 5:05
10. "Dead or Alive" 4:42

Strangeways j'aime assez bien...le son très désuet des années 80

Ted a écrit:

Strangeways j'aime assez bien...le son très désuet des années 80

j'adorais strangeways à sa sortie mais maintenant je trouve que cela a un peu vieilli mais cela reste très bon

Sur la vieille version, le solo final de "The Spanish Archer" est effectivement plus long !

Mes favoris sont "Bad Attitude", "Mad Dog", "The Spanish Archer", "Mitzi Dupree" et "Dead or Alive". Bon, allez, je rajoute "The Unwritten Law"

bad attitude, a part l'intro c'est d'un ennui....